Petite délinquance

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Le harcèlement de rue

«Psst Mademoiselle ! Ho réponds salope !». Encore récemment dénoncé dans les médias, le harcèlement de rue, comprenant aussi le harcèlement dans les transports en commun, constitue une infraction pénale. Après le documentaire réalisé en 2012 par l’étudiante Sophie Peeters, victime ayant dénoncé ces faits, la loi a été durcie. Mais est-ce efficace et suffisant ?

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Écoles et autres lieux publics : comment éviter les vols des biens de valeur

Chaque établissement fréquenté par un large public contient son lot d’objets de valeur qu’il s’avère essentiel de préserver (ordinateurs, téléviseurs, projecteurs LCD, matériel sportif,…). L’accessibilité des établissements publics et le va-et-vient qui caractérisent ces lieux offrent cependant beaucoup d’opportunités de vol ou de dégradation de ce matériel. Voyons les précautions à prendre pour dissuader des auteurs potentiels de passer à l’acte.

© Kato Peeters

Ghetto urbain : contrôle du territoire, embrouilles et code moral

En décrivant la réalité des jeunes des cités, nous avons montré précédemment (voir référence) que le ghetto ne désigne pas un quartier ou une cité mais un ensemble de conduites sociales, évidemment localisées, où la complémentarité de la famille et de la rue, le partage d’une même morale et la personnalisation des jugements sont spécifiques. Ces observations émanent de l’enquête menée durant 5 années par le sociologue Didier Lapeyronnie et publiée en 2009, Ghetto urbain. Ségrégation, violence, pauvreté en France.

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Occupation des espaces publics : la limite entre l’usage privé et l’intérêt public

Dans la majorité des rues commerçantes, on rencontre des chevalets publicitaires ou des étals de magasins placés sur les trottoirs et attirant le client vers l’enseigne toute proche. Les jours de beau temps, cafés et restaurants offrent à leur clientèle la possibilité d'être servie 'en terrasse' sur la place communale. Parfois, le particulier lui-même peut souhaiter poser un soupirail ou plus simplement un bac à fleurs sur l’accotement jouxtant sa propriété.

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Le sentiment d'insécurité et la victimation réelle des personnes âgées

De nombreuses enquêtes de victimation démontrent qu’il existe, chez les personnes de plus de 65 ans, un décalage entre les agressions physiques, les menaces ou injures effectivement subies et le sentiment d’être en insécurité. En effet, les données statistiques prouvent que les jeunes ont bien plus de risques d’être agressés que les personnes âgées (5 à 7 fois selon l’enquête française de l’INSEE en 2009) mais surtout que les risques importants encourus par les seniors relèvent essentiellement des accidents de la vie quotidienne (chutes au domicile, accidents de la route, tentatives de suicide, etc.).

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