TOP NEWS

.
.

NEWS

Les Go Fast s'adaptent pour contrer les forces de l'ordre

Le phénomène des transits rapides de stupéfiants appelés Go Fast est un mode opératoire typique de trafic routier illicite entre l'Espagne et la France, principalement. Axés sur la vitesse (à 250 km/h, sans marquer d'arrêts) durant les années 2000, les Go Fast ont dû s'adapter et "affiner" leurs tactiques par la suite pour échapper aux contrôles de plus en plus efficaces des services de police et douanes français. Nous explicitons plus en détails l'évolution de ce trafic dans les lignes qui suivent, un premier article ayant situé la genèse du phénomène.

© Douane française

Plans d’urgence : l’analyse des risques

Nous avons examiné les différentes facettes de la planification d’urgence impliquant nos autorités administratives et services d’interventions, les nombreux acteurs et leur coordination, les phases et plans à respecter, enfin la gestion de la communication de crise. Nous abordons ici l’analyse des risques qui doit logiquement précéder la rédaction des plans d’urgence et d’intervention.

© Patrick Decorte

Planification d’urgence et communication de crise

Les interventions des services d’urgence lors d’évènements majeurs (accidents de train, explosion dans une zone habitée, catastrophe naturelle, etc.) sont lourdes et complexes. Il est donc nécessaire d’anticiper, autrement dit de prévoir les tenants et aboutissants de ces situations exceptionnelles en mettant au point des plans d’actions précis et coordonnés.

© Patrick Decorte

Le phénomène des Go-Fast routiers

L’acheminement de substances illicites par voie terrestre est effectué en Europe soit en grosse quantité par des camions (en général), soit en go slow autrement dit en petites quantités dissimulées dans des caches aménagées de véhicules de tourisme ou des camping-cars conduits par des familles, si possible avec enfants, ou par des retraités, soit enfin par des go fast dans des voitures puissantes transportant en vrac un chargement important.

© Douane française

Trafic et usages de drogues : entre mythes et réalité

Le trafic de drogues et l’usage de stupéfiants suscitent beaucoup d’idées préconçues auprès du public. De la prévention à la répression, tout en passant par l’aide de soins et l’accompagnement des usagers de drogues, une approche pluridisciplinaire est nécessaire sur le terrain pour appréhender concrètement le phénomène et prendre des mesures efficaces à l’encontre de celui-ci. En témoignent les travaux que nous rapportons brièvement ici.

© Fed Pol-Inforevue

Les plans d’urgence et d’intervention en cas de catastrophe

Nos articles précédents ont abordé la planification d’urgence au sens large, ses acteurs et leur coordination ainsi que les niveaux de responsabilité. Nous avons vu que pour diriger les opérations et gérer toutes les facettes de l’évènement, les autorités responsables élaborent des plans d’urgence et d’intervention. En quoi consistent-ils ? Que contiennent-ils ? Ce sont les questions auxquelles nous tenterons de répondre ci-dessous.

© Protection civile

Les trois phases de la planification d’urgence : qui décide ?

Dans nos deux articles précédents, nous avons tenté de définir la planification d’urgence et d’identifier ses différents acteurs. Nous avons vu que la responsabilité de la planification d’urgence relève des autorités administratives : ministre, gouverneur ou bourgmestre selon les niveaux : fédéral, provincial et communal. C’est ce que l’on appelle les phases de planification d’urgence.

© Astrid